Le présent contrat est la matérialisation écrite d’un jeu impliquant des relations homosexuelles et sadomasochistes, entre deux personnes responsables, moralement saines et conscientes.

Il est édité en un unique exemplaire, que le Master conserve en lieu sûr et il est établi entre :

                D’une part : Do-It, en qualité de Master,

                D’autre part : without, en qualité de : pig, bâtard, slave, dog, maso, lope etc.

Le 10 mai 2009, à Gueugnon:

Ce contrat est valable pendant trois mois, il sera éventuellement reconduit, après évaluation et redéfinition des obligations du bâtard. Le bâtard se doit d’honorer ce contrat, tout comme son Master, au titre d’un grand honneur que lui fait son Master en le jugeant digne de rester à ses pieds et à son entier service.

La vie privée et professionnelle doivent être assurées. Aucune atteinte ne leur sera portée.

Tout manquement aux règles de bases sera sanctionné conformément au paragraphe «  sanctions ».

Le bâtard doit respect et honneur au Master, en conséquence il marchera toujours derrière sont Master, s’adressera de façon polie à son Master, le mensonge est formellement interdit.

Le cul et la bouche du bâtard sont à dispo permanente du Master et des potes du Master, en conséquence le bâtard doit avoir le cul prêt à chaque instant.

Tous les rapports seront protéger, le SSR (Sexe Sans Risque) est impératif, en conséquence le Master s’engage à ne faire boire sa pisse que si elle est clean.

La chasteté du bâtard est imposée, seul le Master décide des jouissances du bâtard. Elle peut être levée temporairement, en cas de récompense par exemple.

Le bâtard sera entrainé à subir différentes tortures. Le bâtard sera entrainé à être un bon slave, un bon bâtard conformément au paragraphe « évolutions du bâtard ».

Le bâtard doit faire en sorte que son Master prenne plaisir à le torturer et le contraindre, en conséquence il ne dira jamais « non » et affichera également, en tout temps, une prise de plaisir. Seul le mot « STOP » indiquera au Master l’arrêt total de la torture. Le bâtard prononcera ce mot lorsqu’il se sentira en danger et/ou incapable de satisfaire son Master. Aucune sanction ne sera prise si le mot « stop » est prononcé par le bâtard. Cependant le bâtard devra motiver, après avoir repris son calme, la ou les raisons de l’utilisation du "safe word". Le bâtard sera averti en temps utile de la (des) parties de son corps qui sera (seront) soumise(s) à utilisation.

Le bâtard s'engage à ne jamais utiliser les meubles et sièges pour son propre usage, à moins que le Master lui en donne l’ordre ou l’autorisation.

Le Master décidera des tenues, des coupes de cheveux, du rasage et de l’état de la pilosité du bâtard.

Un nom cohérent sera donné par le Master, au bâtard, le bâtard devra au maximum faire usage de ce nom. Le bâtard sera aussi numéroté, par inscription au registre des slaves. En plus des dispositifs de chasteté, d’élongation des burnes (ballstretcher) le bâtard assumera autour de son cou tout collier et/ou chaine cadenassée assortis d’une plaque reprenant son nom et son « SLRN » (SLave Registration Number).